Retrouvez la famille Monseu dans une interview Trends Tendances exclusive.
« Mes beaux-parents étaient actifs depuis plusieurs générations dans le métier, confie-t-il. Ils avaient quitté Braine-l’Alleud pour Huizingen où ils traitaient de plus grandes quantités de carton. Le bâtiment de Braine-l’Alleud étant vide avec une machine disponible, je me suis lancé dans l’aventure d’abord en personne physique avant de passer ensuite en société, d’abord en SPRL en 1985 puis en SA en 1990. A l’époque, je récupérais les chutes de papier dans les imprimeries. Le principe est simple, on collecte, on trie et on vend ensuite aux papeteries en respectant leur cahier de charges. Nous leur fournissons ainsi des ballots de papier de qualité comparable qu’ils intègrent en tant que matière première secondaire dans leur processus de production. Nous proposons ainsi une vingtaine de qualités de papier différentes. »
Aujourd’hui, le principe n’a pas changé. Si ce n’est que le nombre d’imprimeries s’est réduit depuis 30 ans dans un secteur en crise. Afin de demeurer compétitive, Monseu Recycling développe et adapte ses services en permanence. Elle propose ainsi des solutions pour les entreprises qui désirent se défaire de leurs archives de bureau. « C’est une activité sur laquelle nous mettons de plus en plus l’accent, reprend Didier Monseu. Nous offrons ainsi un service de destruction de documents confidentiels avec remise de certificats. Le potentiel est important notamment avec les professions libérales comme les médecins, avocats, notaires, ainsi qu’avec de plus petites structures comme des CPAS, agences de voyages, PME, etc. Ce redéploiement de nos activités est essentiel car il ne faut pas se leurrer, le marché a muté et il y a moins de papier et de carton qu’auparavant. »
En l’espace de 30 ans, Monseu Recycling a déjà traversé des périodes critiques et a même failli cesser ses activités au mitan des années 2010-2011.
« Mes beaux-parents étaient actifs depuis plusieurs générations dans le métier, confie-t-il. Ils avaient quitté Braine-l’Alleud pour Huizingen où ils traitaient de plus grandes quantités de carton. Le bâtiment de Braine-l’Alleud étant vide avec une machine disponible, je me suis lancé dans l’aventure d’abord en personne physique avant de passer ensuite en société, d’abord en SPRL en 1985 puis en SA en 1990. A l’époque, je récupérais les chutes de papier dans les imprimeries. Le principe est simple, on collecte, on trie et on vend ensuite aux papeteries en respectant leur cahier de charges. Nous leur fournissons ainsi des ballots de papier de qualité comparable qu’ils intègrent en tant que matière première secondaire dans leur processus de production. Nous proposons ainsi une vingtaine de qualités de papier différentes. »…
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Monseu dans une interview Trends Tendances